"Paye ton calva!", 3 années à Caen

Le blog est fermé depuis août 2009. Je le laisse encore en ligne jusqu'à la fin de l'année, puis je l'effacerai. Si vous souhaitez récupérer des photos, cliquez dessus pour qu'elles apparaissent en grand, puis clic droit et "enregister sous".

jeudi 29 novembre 2007

Tous les saints du sud

Pas de preuves photographiques non plus du week-end passé dans le Sud-Ouest, pour la Toussaint. Nous y avons passé quatre jours en famille, tranquillement. Maëlle, Laurent et Félicie nous ont rendu visite en premier, puis Philippe, Sylvie et Florent. Nous avons aussi vu mes grands parents, la grand mère de Florian, et bien sûr ses parents, qui ont hébergé et nourri tout ce monde gentiment.

PS: Suite à mon appel à photos de la semaine dernière, voici quelques photos de la Fée Lissie en novembre...




mercredi 28 novembre 2007

Tom

On n'a pas de preuves, mais Thomas André est venu à Caen, lui aussi! Même qu'il a mangé des tripes!
Si je fais le point, on a donc reçu:
- Françoise et Raymond (x2)
- Sylvie (x2) et Philippe
- Adeline
- Rémi
- Maëlle
- Lucie et Romain
- Fanny
- Diane
(j'ai oublié personne?)
Mais seul Tom a mangé des tripes à la mode de Caen, à Caen.

dimanche 25 novembre 2007

Un pied de nez à la grève des cheminots: week-end en Catalogne avec le Pouss

18 octobre, ça vous rapelle quelque chose? Oui, c'est ça, une grève. Très suivie. Du genre où il n'y a aucun train en circulation.
Et nous, pas de chance, on avait prévu, depuis trois mois, d'aller passer le week-end du côté de Barcelon, avec le PouSS... Alors on a mis un mouchoir sur notre énervement, on a fait appel à la famille, et on est allés en voiture jusqu'à l'aéroport, via Montigny Le Bretonneux.
A partir de là, tout s'est bien passé, nous avons retrouvé Adeline comme prévu, il faisait très beau, l'appartement était agréable, et la Catalogne hors saison magnifique.


Nous avons commencé par visiter Tarragone, ancienne cité romaine. D'ailleurs, derrière les Montès frère et soeur, vous pouvez voir Scipion, qui regarde la mer. Un homme de vision, assurément! Mais qui n'avait pas prédit la défaîte de l'équipe de France ce soir là, en petite finale de la Coupe du Monde de rugby...




Bref, trève de souvenirs chatouilleux, Tarragone possède un centre-ville charmant, dans lequel nous avons déambulé au hasard des ruelles et des escaliers. Des petites places où les adultes boivent une bière et les enfants jouent au ballon (tout le monde en tee-shirt, bien sûr); de belles villas en pierre et des maisons décrépies; une cathédrale très particulière; et des grues partout.


Après tout cela, un bon repas pris à l'heure espagnole, une alarme incendie qui se déclenche, et la vue sur la piscine de l'hôtel. Pas mal, pour commencer!


Samedi, nous avons pris de petites routes touristiques pour partir sur la route des monastères catalans...


...une route qui passe par le village de Montblanc, qui, malgré son nom, n'est pas recouvert de crème dessert. En l'occurence, Montblanc était plutôt recouvert de soleil. Le village était ceint de murailles, et plein de chats, plus attirés par le poissonnier que par nous.






Nous avons trouvé le courage de monter tout en haut du village, pour admirer la vue sur les montagnes environnantes. Florian en a profité pour se prendre pour Leonardo, mais sans Kate (qui prenait des photos). Et puis après c'était l'heure de manger...


En début d'après-midi, nous sommes enfin arrivés au monastère Santa Maria de Poblet. L'une des plus belles réalisations des cistersiens. Le monastère date du 12e siècle. Il représente un superbe ensemble architectural, avec tout ce qui faut: un cloître immense et magnifique (et vous savez comme je les aime), un lavabo en bon état, une église qui renferme les tombeaux des rois catalans (écrasant), une place royale... Ajoutez à cela des cyprès et la douce lumière d'automne... J'ai du me faire violence pour choisir les photos!






Après Poblet, visite express d'un autre monastère: celui de Santes Creus. Toujours cistercien, mais gothique. Superbe, également. Déconcertant, également: deux cloîtres, l'un très riche et l'autre très simple, des cuisines de 1m30 de plafond... Malheureusement, je ne peux pas vous en dire beaucoup plus, car nous n'avons pas eu le temps de visiter en détail: au pays du mange-tard, les monuments ferment tôt.




Dernière ballade avant de partir: sur la plage de Villanova i la Geltru, un adios au toro.





samedi 24 novembre 2007

Effets de lumière au château de Brécy

Quelques photos d'une visite au château de Brécy, dans la campagne normande. Des jardins à la française en terrasses, somptueux dans la lumière d'automne, saisie à merveille par Florian.










mercredi 21 novembre 2007

Sur les traces d'Arsène Lupin en compagnie de Françoise et Raymond

Comme Françoise et Raymond n'avaient pas encore vu la cage à poules qui sert d'appartement à Florian que Rouen, ils lui ont rendu une visite express début octobre.
Pour rentabliser au maximum le week-end, nous leur avions concocté un choix cornélien: mer ou campagne? Et puis le soleil s'est planté et l'on ne s'est plus posé la question. Directions: Fécamp et Etretat.
D'abord Fécamp: j'avoue que je retiens surtout de la ville son Palais Bénédictine, tellement démesurément riche, tellement fou! Nous ne l'avons pas visité, ni goûté à la célèbre liqueur. Mais je ne manquerai pas de le faire la prochaine fois (visiter, bien sûr, vous connaissez ma sobriété légendaire;-)!






La plage de Fécamp était, elle, tellement... normande! On aurait dit un tableau d'impressionniste, ... ou bien une couverture de guide du routard!


Après un pique-nique très attendu (j'ai faim, j'ai faim, j'ai faim), petites routes pittoresques, arrêt à Yport (= sieste des Bisounours) puis arrivée à Etretat. Beau temps oblige, nous n'étions pas seuls. Mais la plage est charmante, la promenade sur les falaises superbe,









et................................................................. Arsène Lupin partout! Alors pas partout pour tout le monde, mais pour moi qui ai lu "l'Aiguille Creuse" plus de fois que je ne peux m'en souvenir, pleuré tellement à la mort de Raymonde, le grand amour d'Arsène... J'ai donc fait un petit pélerinage, je suis allée à pied dans la grotte par laquelle Arsène s'enfuit à la fin du livre (mais je peux me tromper, ma dernière lecture remonte à quelques temps déjà), je suis passée dans le tunnel, sensé mené à l'aiguille, et qui en fait ne mène qu'à une autre plage, mais c'est pas grave, c'est déjà tellement émouvant! Ah, Arsène... Des années après, je suis encore amoureuse... Oui, mais c'est un gentleman!